L’HISTOIRE
L'idée de LA CASA DELL'ARTE est née par hasard lors de mon premier voyage après la pandémie, en pleine recherche d'un nouvel air à respirer ; le hasard a voulu que le
nouvel horizon à explorer soit la ville d'Arles. Rien de plus approprié ne pouvait m'attendre : un esprit dynamique, entreprenant et vivant m'attendait, et surtout un
profond sentiment de renaissance. D'où l'envie sincère de participer à ce mouvement de relance, le défi de me remettre en jeu, de participer à l'aventure.
LE CONCEPT
Une maison, un lieu d'accueil et de partage qui se développe autour des arts, voilà le projet. En avril 2023, une première exposition avec Claude Max Lochu,
le 20 avril 2024 LA CASA DELL’ARTE, 8 rue Augustin Tardieu, ouvre ses portes. Trois expositions par an sont prévues, le reste du temps un espace à la disposition
des visiteurs, des curieux et des artistes du monde entier.
LA MAISON
La maison est à la fois petite et spacieuse : l'atelier-galerie situé au rez-de-chaussée permet aux artistes en résidence de travailler, de créer, mais aussi d'exposer
leurs œuvres. L'espace d'environ 30 m2 est équipé d'une salle de bain indépendante et d'un éclairage professionnel. Une grande fenêtre et une porte d'entrée en verre
permettent d'accéder à l’atelier-galerie directement depuis l'extérieur.
Au premier étage, deux chambres doubles avec salle de bains, et au deuxième étage, il y a un "espace ouvert" abritant la cuisine, la salle à manger et le salon ; cet
espace est éclairé par la lumière naturelle provenant de deux puits de lumière. La maison a le charme de l'architecture Arlèsienne, avec ses murs en pierre et ses poutres
en bois apparentes, ses grandes fenêtres et son escalier central en colimaçon. C'est donc un lieu de paix, une invitation au repos et au partage avec ses proches dans le
confort du centre-ville. Une table et deux chaises devant l'entrée permettent également de s'attarder autour d'un café en plein air tout en profitant de la brise chaude
du midi de la France.
L’ART
LA CASA DELL'ARTE accueille des artistes du monde entier, leur offrant un lieu de travail et d'exposition, pour trouver l'inspiration dans la ville de Van Gogh, de
Gauguin, un centre de rayonnement culturel qui remonte à l'Empire romain. LA CASA DELL’ARTE de la rue Tardieu a tout pour plaire avec sa situation à l'abri de l'agitation
urbaine et touristique au cœur d'un quartier en plein développement, à proximité de l'animation de la place Voltaire et à deux pas des arènes. Sa volonté première et
renouvelée est de participer activement à la vie culturelle de la ville et de contribuer au développement du triangle : rue Voltaire, rue Tardieu et rue Portagnel.
LA STORIA
L’ idea di LA CASA DELL’ARTE nacque spontaneamente e casualmente durante il mio primo viaggio dopo la pandemia, in seno all’irrefrenabile ricerca di nuova aria da
respirare; il caso fece sì che il nuovo orizzonte da esplorare fosse la città di Arles. Niente di più appropriato avrebbe potuto riservarmi: mi aspettava uno spirito
dinamico, intraprendente e vivace, e soprattutto un profondo senso di rinascita. Da qui il genuino desiderio di partecipare a questo vorticoso movimento, la sfida di
mettermi di nuovo in gioco, di prendere parte all’avventura.
IL CONCETTO
Una casa, un luogo di ospitalità e di condivisione che si sviluppa attorno alle arti, questo è il progetto. Nel aprile 2023 la prima mostra con Claude Max Lochu,
il 20 aprile 2024 LA CASA DELL’ARTE, 8 Rue Augustin Tardieu, apre i battenti. Tre mostre all’anno quelle previste, nel tempo restante uno spazio a disposizione di
visitatori, curiosi, ed artisti provenienti da tutto il mondo.
LA CASA
La casa è allo stesso tempo piccola e spaziosa : Lo studio-galleria al piano terra permette agli artisti in residenza di lavorare, creare, ma anche esporre il loro
lavoro. Lo spazio di circa 30 m2 è dotato di un bagno indipendente e di illuminazione professionale, un’ ampia finestra e la porta d’ingresso vetrata permettono la
visibilità e l’accesso alla galleria-studio direttamente dall’esterno.
Al primo piano due camere matrimoniali con bagno, al secondo un ’open space che ospita cucina, sala da pranzo e soggiorno; questo spazio è rischiarato da luce
naturale proveniente da due lucernari. La casa possiede il fascino dell' architettura tipica della città, con i suoi muri in pietra e travi in legno a vista,
le vaste finestre e la scala centrale a chiocciola. E’ per questo un luogo di pace, un invito al riposo e alla condivisione con gli affetti immerso nella comodità
del centro cittadino. Un tavolo e due sedie davanti all’ingresso permettono inoltre di trattenersi per sorseggiare un caffè all'aperto godendosi la brezza tiepida
del mezzogiorno francese.
L’ARTE
LA CASA DELL’ARTE accoglie artisti provenienti da tutto il mondo offrendo loro un luogo dove lavorare ed esporre, trovare ispirazione nella città di Van Gogh, di
Gauguin, centro di rilievo culturale già in età imperiale romana. LA CASA DELL’ARTE nella Rue Tardieu ha tutto da offrire con la sua posizione protetta dalla frenesia
urbana e turistica al centro di un quartiere in via di sviluppo, in prossimità della briosa Place Voltaire e a due passi dall’arena. Il suo principale e rinnovato
intento è quello di partecipare attivamente alla vita culturale della città e contribuire allo sviluppo del triangolo: Rue Voltaire, Rue Tardieu e Rue Portagnel.
DIE ENTSTEHUNG
Die Idee für LA CASA DELL'ARTE entstand spontan und zufällig während meiner ersten Reise nach der Pandemie, inmitten eines unbändigen Drangs nach frischem Wind und
neuen Ufern; der Zufall wollte es, dass der neue Horizont, den es zu entdecken galt, die Stadt Arles war. Nichts hätte besser zu mir passen können: ein dynamischer,
unternehmungslustiger und lebendiger Geist erwartete mich, und vor allem ein tiefes Gefühl der Wiedergeburt. Daher der aufrichtige Wunsch, an dieser rasanten Bewegung
teilzunehmen, die Herausforderung, mich auf den Weg zu machen, mich auf ein neues Abenteuer einzulassen.
DAS KONZEPT
Ein Zuhause, ein Ort der Gastfreundschaft und des Austauschs, der sich rund um die Kunst entwickelt, das ist das Projekt. Im April 2023 findet die erste Ausstellung
mit Claude Max Lochu statt, am 20. April 2024 öffnet LA CASA DELL‘ARTE, Rue Augustin Tardieu 8, seine Türen. Geplant sind drei Ausstellungen pro Jahr, in der übrigen
Zeit steht der Raum Besuchern, Neugierigen und Künstlern aus aller Welt zur Verfügung.
DAS HAUS
Das Haus ist klein und geräumig zugleich: Das Galerie-Atelier im Erdgeschoss ermöglicht es den Künstlern zu arbeiten, zu schaffen, aber auch ihre Werke auszustellen.
Der Raum von ca. 30 m2 ist mit einem eigenen Bad und professioneller Beleuchtung ausgestattet, ein großes Fenster und eine Glastür ermöglichen die Sicht und den Zugang
zur Atelier-Galerie direkt von außen.Im ersten Stock befinden sich zwei Doppelzimmer mit Bad, und im zweiten Stock gibt es einen "offenen Raum", in dem sich Küche,
Esszimmer und Wohnzimmer befinden; dieser Raum wird durch zwei Oberlichter natürlich beleuchtet. Das Haus hat den Charme der typischen Architektur der Stadt mit seinen
Steinmauern und sichtbaren Holzbalken, den großen Fenstern und der zentralen Wendeltreppe. Es ist daher ein Ort der Ruhe, eine Einladung zum Entspannen und zum Austausch
mit Freunden und der Familie in der Gemütlichkeit des historischen Stadtzentrums. Ein Tisch und zwei Stühle vor dem Eingang laden außerdem dazu ein, bei einem Kaffee im
Freien zu verweilen und die warme Brise des französischen Südens zu genießen.
DIE KUNST
LA CASA DELL'ARTE empfängt Künstler aus aller Welt und bietet ihnen einen Ort zum Arbeiten und Ausstellen und sich in der Stadt von Van Gogh, von Gauguin, die bereits
im Römischen Reich ein Zentrum von kultureller Bedeutung war, inspirieren zu lassen. LA CASA DELL‘ARTE in der Rue Tardieu hat alles, was es braucht: Es liegt geschützt
vor dem städtischen und touristischen Trubel im Zentrum eines sich entwickelnden Viertels, in der Nähe des lebhaften Place Voltaire und nur einen Steinwurf von der
Arena entfernt. Sein Hauptziel ist es, aktiv am kulturellen Leben der Stadt teilzunehmen und zur Entwicklung des Dreiecks zwischen der Rue Voltaire, der Rue Tardieu
und der Rue Portagnel beizutragen.
Ursula Vetter
LA CASA DELL’ARTE
8, rue Augustin Tardieu, 13200 ARLES
Ici la Terre
Etrange ce titre d’exposition pour un artiste qui n’a eu de cesse de peindre l’urbain, les intérieurs, les figures.
Certes, il a parfois pris de la hauteur, notamment avec ses survols nocturnes de New York, Paris, Los Angeles, Berlin, Houston.
On pouvait se douter qu’il aurait envie d’aller encore plus haut. Il y a 3 ans, j’écrivais à propos du travail de Claude-Max Lochu :
« Nous basculons, nous perdons nos repères, nous nous laissons emporter par ce voyage dans l’atmosphère, nous nous abandonnons au-dessus des tours,
en nous demandant si nous redescendrons un jour… » Prémonitoire sans doute, car aujourd’hui il a tout bonnement décollé dans l’espace.
Pas uniquement par envie, mais surtout par besoin. Un besoin impérieux de montrer à quel point notre planète est belle, fragile, lumineuse ;
un besoin de la défendre aussi, de la protéger, de prendre sa place dans les voix qui s’élèvent pour rappeler l’urgence de la préserver,
d’arrêter les gaspillages destructeurs.
Claude-Max Lochu a poussé son idée jusqu’au bout en représentant la terre sur des objets destinés à la poubelle : skate board, valise cartonnée, CD !
La liste pourrait encore s’allonger et la série des planètes ne jamais s’arrêter. Car la Terre n’est jamais exactement la même.
L’artiste joue à merveille avec le blanc lacté des masses nuageuses glissant sans entrave sur les océans. Les volutes se meuvent,
les nuances colorées se multiplient dans des camaïeux d’ocre, de bleu, de gris.
La répétition du thème sur plusieurs supports accentue la sensation de mouvement pour nous dire qu’elle est encore bien vivante et puissante.
Si la thématique planétaire occupe une partie importante de l’exposition, elle laisse aussi la place aux autres thèmes de prédilection de l’artiste.
Les paysages ont été choisis en fonction de leur lien colorimétrique avec la vision de la planète depuis l’espace.
Ainsi, les paysages d’hiver et plus particulièrement de neige créent un bel écho avec les œuvres représentant la Terre.
Impossible aussi de se priver de quelques lieux mythiques - le Kino Babylon, l’Empire State, le quartier de Dumbo
- ou de signes symboliques chers à l’artiste tels les panneaux de signalisation ou les citernes d’eau sur les toits de New York.
Riche, engagée, inspirante, la peinture de Claude-Max Lochu nous invite une nouvelle fois à prendre le temps de regarder notre monde, de près comme de loin.
Frédérique Paumier-Moch 7 mars 2018
2 allée des Robichons – 78170 La Celle St Cloud
Visites sur rendez-vous uniquement
Frédérique PAUMIER-MOCH
www.213pm.com
+33 1 30 82 48 67 - +33 6 15 18 14 24
Bonjour,
En juin, c’est à Claude-Max LOCHU qu’est laissée la place d’honneur à l’espace 2.13 PM, pour son exposition intitulée Art is everywhere.
De jour, de nuit, en survol ou au pied des immeubles, dans les petits quartiers, dans les centres d’affaires : l’art est partout. Il suffit de savoir en décrypter les signes… de consommation, d’injonction, d’excès, de dérision. Claude-Max LOCHU est un capteur des signes de notre temps, un magicien de l’atmosphère des lieux, un grand moqueur de nos vies citadines.
Claude-Max LOCHU
Peintre
Ø Vernissage à La Celle St Cloud, dimanche 29 mai de 15h30 à 18h
Ø Soirée « Hors-les-Murs » à Paris, jeudi 23 juin à partir de 18h30 Afynéo – 6, rue Georges Ville – 75016 Paris / Métro Victor Hugo
Ø Programmation à La Celle Saint Cloud o Portes ouvertes : mardi 31 mai et jeudi 27 juin de 15h à 20h
o Nocturnes SoArt : lundi 6 et jeudi 23 juin de 20h à 22h
o Sur rendez-vous tous les autres jours : 01.30.82.48.67
L’exposition a lieu du 29 mai au 1er Juillet 2011
Espace 2.13 pm – 2, allée des Robichons – 78170 La Celle St Cloud – Plan d’accès : www.213pm.com/coordonnees.html
Afynéo - 6 rue Georges Ville - 75016 Paris – Signalez au préalable votre venue au 06.86.32.06.83
L’umiltà e semplicità di un oggetto d’uso, di
un interno, di un paesaggio familiare, le “piccole grandi” sicurezze del
quotidiano, quando il consumismo stesso entra nell’esistenzialismo, e le icone
pop e massmediatiche, gli utensili di una memoria recente, ma già di
suggestione arcaica, le oggettualità finite, si elevano ad oggetto d’arte
concettuale, protagonisti assoluti di una tela ritagliata sull’infinito, che
svela il volto oscillante del contemporaneo, al ritmo di un’ironia fantastica,
che recupera l’espressività libera dagli archivi sedimentati dell’infanzia.
Un animismo irresistibile, leggero e complesso
insieme, si muove sugli assi tematici delle artstories
di Claude Max Lochu, pittore parigino, rappresentante
di stile della città che forse più di ogni altra testimonia ancora il passaggio
irrisolto verso le frenesie della modernità, ambasciatore consapevole ed
esorcizzante, delle trasformazioni semantiche che passano attraverso la
temporalità e caducità deformante, dove persino la “moka”, casalinga, umile e
classica, diviene star e prima donna, al contempo tragica e divertente. Una
visione gentile ed elegante, ma anche magnetica e provocatoria, che si delinea
come ritratto nostalgico del cambiamento, quando il presente scivola via e resta
il palcoscenico della ricerca verso un luogo ancora privilegiato e significante,
nello scenario roteante dell’esistenza.
Pennellate morbide, ma anche decise, nei
volumi cezanniani costruiti sulle tonalità tremolanti e timide di una luce
atemporale, ombre e colori, in composizioni che si muovono sulle linee di una
ripresa cinematografica, che tracciano un racconto, aperto e scaturito dalla
fenditura di scambio tra il reale e l’immaginario, fino al bianco e nero più
sobrio, dove l’onda vitale di scatole di biscotti si ricompone in un equilibrio
che gioca tra la tradizione riservata e la forza comunicativa ed universale della
grafica.
Un sodalizio tacito tra epoche di confine
s’instaura, e l’epoca retrò ammonisce il contemporaneo del suo imminente
superamento, nei dipinti e nei disegni, in paesaggi e vedute costruite dalle più
recenti. E già desuete, ciabatte “crocs”, imballaggi vari, pacchetti di
sigarette, giocattoli, stoviglie e suppellettili, lattine di bibita distrutte
ad arte dall'uso, ecc., e l’inanimato, che non è più tale, richiede un nuovo
ruolo, oltre il tramonto vertiginoso ed accelerato, percepito nelle certezze e
nell’identità del nostro tempo.
